TOUR REPORT: OKTOBERFESTOUR (Mantramond+Fred ATOME) 25 au 29 octobre 2017

25 octobre (Lys d’or/ Amiens)

{fred}

Départ aux aurores ce matin pour le début de la tournée …enfin…13h…On est larges…frais et dispos! Environ 2h30/3h pour arriver au Lys d’or à Amiens. la première date de la tournée. Léa a le temps de se remaquiller. Et pour l’instant le camion ne sent pas mauvais. Chouette!

{François} Sur la route, je peux me réfugier dans l’écriture, ça m’évite d’écouter fred dire des conneries. J’appréhende un peu sur l’accueil au lys d’or, déjà qu’Amiens est la ville dont Macron est originaire, Manquerait plus qu’on tombe sur des monarchistes!

26 octobre (Le Floyd café/ Reims)

{fred}

1ère date plutôt sympathique (hébergement, soirée) Public pas très dense faute aux vacances, match, concurrence mais néanmoins réceptif et curieux . (« Votre musique…ça change… »)

Après nos sets respectifs; Quelques bières et mojitos plus tard. on a posé nos affaires chez le patron avant d’aller boire un dernier verre sur la place « nocturne » d’Amiens: Bars, boite de night, bourrance, la base.

Après ça, petite nuit (mes ronflements, les bruits de gorge de Xav, les mouvements de François) suivie au matin d’un petit dej au bar avant de recharger et d’aller visiter la cathédrale d’Amiens. Ce soir c’est concert au Floyd à Reims.

{François} 1er jour que nous avons quittés Caen, les vivres commencent déjà à manquer. Si cela continue nous allons devoir manger l’un d’entre nous. Xavier maintient le cap malgré le brouillard.DSC_0510

{Lea} Xavier dort avant de reprendre la route. Moi j’ai faim, je croquerais bien un bout de ses petites fesses bien rondes. Fred vient de dire à françois qu’il pouvait lui mettre un doigt dans le cul.

27 octobre/ day off

{fred}

La balade dans Reims et la bonne bière (3 loups)avant d’aller charger, ont précédé une Soirée sympa hier au floyd , sans être ouf malade niveau ambiance. Heureusement, notre public n’était pas constitué de nazis contrairement à ce qu’on aurait pu penser avec la première personne croisée dans la ville. Lieu sympa bien qu’un peu froid, catering un peu léger. Mantramond a su tiré son épingle du jeu ce soir particulièrement.

Soirée sympa entre nous à l’apart hôtel , avec un François au top de sa forme apéritive . du coup aujourd’hui , c’est brunch à verdun avant d’aller rejoindre notre air BNB à proximité de metz.

{xav} Première fois que je prend la plume depuis le début de cette tournée qui nous emmènera jusqu’à vladivostoc ou nous remplirons un stade de foot depuis l’énorme buzz de Jeandebile (*projet electro debile de fred ) en Russie. Merci air bnb, mais méfiance notre hôte ressemble à Mr burns mixé avec patrick de Caen. Ps le jaggermeister ça fait pas du bien.

{François} Verdun, les gars sont calmes aujourd’hui, mais il se prépare quelque chose. je ne peux m’empêcher de maudire les planqués de généraux à l’arrière. Mes compagnons et moi même avont trouvé le gîte chez un kinésithérapeute , si je saute sur une mine j’aurais au moins les vertèbres en place. Notre groupe d’intervention musicale trouve son rythme et sa méthode. hier nous avons plié le matos en 15 minutes, montre en main. 

28 octobre (La chaouée/ Metz)

{François} Luttanges. 10h. Cette nuit j’ai été pris d’une vision cauchemardesque , réveille par un grand bruit. Je constate une trainée de sang…Après examen, c’est (nom gardé secret) en train de gerber.

Metz , Après un midi dans un horrible restaurant asiatique à volonté (ces crevettes ont le même gout que le poulet…), 16h45. Nous attendons de passer à l’offensive à la chaouée , et patientons dans le camion. Fred improvise des chansons sur les passants. Je ne suis pas sorti indemne de Verdun, mais je sais maintenant pourquoi il n’y a pas de tripes à la mode de Verdun. Qu’est ce qu’on se fait chier , vivement le déchargement!

29 octobre (Le local/Strasbourg)

{fred} retour sur le tour, avec du retard. La chaouée , petit ilot dans la ville, et son public varié. Un ingé son sympa, un tenancier un peu tendu au début , puis cool par la suite. Concert pas ouf pour moi (la bière de trop?) mails bien fun pour Mantramond. Suivi d’une nuit tranquille juste au dessus du bar. On est reparti de la bas avec des souvenirs (de la bière locale : la bon poison).

Départ le 29 octobre pour strasbourg et la dernière date au Local. On appréhende un peu car le patron nous annonce qu’il faudra faire vraiment peu de bruit…

Arrivés à strasbourg . on est bien entre balade et tarte flambée (et cathédrale encore…la 4 ème du tour) on se pose au local. L’accueil est très moyen (froid) on sent q’ils appréhendent pour le volume sonore et le public (on est dimanche)

Au final le public arrive malgré tout, et ce sera pour moi (Fred Atome) le meilleur set de la tournée , contrairement aux mantramond , dont le volume est vraiment bas . On sent qu’ils sont déçus…

(Mais ça sonne 🙂 Mantra Mond -Indian Girl live au Local

Direction chez le patron pour la nuit d’avant le retour à la maison. Dégustation de whisky et nouveaux potes canins et félins .

{François} Nous rentrons vers notre normandie. Après un périple d’environ 120h. Nous avons bu 20litres de bière à nous tous, 8 litres de café, mangé mexicain, turc, asiatique, alsacien, italien et …snack..Passé une 20 aine d’heures sur la route, dormi une 30 aine (certains mieux que d’autres) chargés/ déchargés  le matos 5 fois, visités 4 cathédrales et une abbaye qui n’existe plus. Avons attendus une 15 aine d’heure et joué 8 heures. et attendu environ 1h de retrouver les clés du camion arrivé à caen.

Merci aux différents lieux, et au public pour cette sympathique tournée. A bientôt!

Fred Atome, Mantra Mond

 

 

Suite au vol de notre matériel (guitare etc) /site participatif

 

 

Bonjour à tous.

Par la force des choses, nous mettons cette cagnotte en place afin de récupérer des fonds pour s’équiper de nouveau après notre mésaventure lors de notre tournée en République Tchèque avec Pan D / Fred Atome qui devait se dérouler du 08/05 au 11/05.

Nous avons essayé de mettre un objectif financier raisonnable par rapport à ce crowdfunding même si nous espérons dépasser cette somme, avec plusieurs petites contreparties et la possibilité de donner à partir de 5€.

Nos contreparties, aussi petites soient-elles, sont pour nous aujourd’hui la seule façon de vous montrer notre reconnaissance. Nous avons préférés ce système d’échange plutôt qu’une cagnotte où l’on ne pouvait rien vous offrir en retour.
Vous êtes donc libres de donner comme bon vous semble.

Nous avons chiffré à 4000€ (sur les 10000€ d’instruments dérobés), le budget minimum que nous souhaiterions atteindre pour pouvoir refaire de la musique au plus vite.
En cassant nos tirelires nous avons déjà pu mettre environ 1800€ de notre poche.

Encore une fois cette démarche est pour nous dans la continuité de nos envies, pouvoir faire de la musique et jouer de la manière la plus sincère qu’elle soit, dans l’état d’esprit de ce que nous avons toujours essayé de faire. Repartir en tournée, continuer à enregistrer des chansons, faire de belles rencontres sont toujours nos principaux objectifs et également la seule chose que l’on ne pourra jamais nous voler…

Vous trouverez un rapide récit des faits à la fin de ce message.

D’avance merci pour votre soutien.

Pour nous contacter :
Facebook : http://www.facebook.com/PanDmusic

Email : dasfuzzassociation@gmail.com

Tél : 06 50 79 44 73

Sophie, Adrien, Matthieu, Vilfrid, Alex, Fred. (Pan D / Fred Atome).

 

http://fr.ulule.com/pand-fredatome/

Faire un concert en prison. (UNDOBAR)

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Pour toutes les Photos de l'article: ©Pierre DUCRET

Faire un concert en prison c'est assurément très différent 
que de faire un concert dans un bar ou salle quelconque. 
Parce que le public se compose d'individus privés de leur 
liberté ce qui est en parfaite opposition avec celle que
tu transpire en tant que musicien. 
On a tous à l'idée le fantasme de Johnny Cash évidemment ou 
encore le St anger de Metallica. 
Mais c'est une chose tout autre de le vivre. 
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Car contre toute attente, amener du bonheur ,de " l'évasion" 
n'est pas tache si aisée que cela dans le cadre d'un concert 
en maison d'arrêt. Les murs des personnalités sont à la 
hauteurs de ceux qui entourent les corps et le défi du groupe
 est bien de faire tomber les barrières en oubliant l'aspect 
réglementaire de l'accès, de l'installation et de la rigueur.
C'est notre 2ème expérience de concert en prison pour Undobar
 ( St Malo et Coutances). 014_4139
La confiance du personnel est là mais il faut tout de même 
laisser sa carte d'identité et son téléphone ,passer des 
portiques où chaque passage doit attendre le verrouillage de 
l'accès précédent. Ainsi que la fouille du matériel. 
Essentiellement des mallettes. 
Tout en sachant que l'on est libre ...force est de constater 
qu'on ressent une certaine oppression derrière ces murs et 
ces barbelés. On passe à coté de cellules où l'on peut voir; 
Subrepticement, des chambres de 5,6 voire 8 personnes. 
On entend le ton monter par endroit. Mais aussi avec certains.
On peut échanger un regard ou un sourire. 
Ce qui te saute à la gueule c'est que ces gens là n'ont pas
forcément la "gueule" du taulard. C'est monsieur tout le 
monde. C'est moi. C'est toi qui a déconné un moment ou à un 
autre. 

Certains volontaires plus ou moins encadrés par le personnel
 sont plutôt motivés à t'aider à porter ton matériel. 
D'autres, plus cyniques n'hésitent pas à te demander si tu as 
de la vodka, des substances illicites ou une femme dans ton 
matériel. De la petite provocation à l'égard des gardiens 
mais sans agressivité.

Le concert arrivant. Les deux fois dans un lieu multi culturel
autant lieu de culte que d'activité. Les détenus arrivent.
 On se salue. On les sent un peu curieux mais un peu désabusés.
Et c'est à ce moment que tu te dis qu'il faut mettre le pâté.
Que les gars puissent le temps d'une heure penser à autre chose
 parce que toi là, sur la petite scène tu n'es pas la pour les
 juger. 014_4091
Un public ne fait pas l'autre et si il y a toujours ce côté 
plus froid qu'à l'accoutumée, les détenus de Coutances
étaient à la fois plus nombreux et motivés. Je crois aussi que 
nous, pour cette 2ème nous étions plus à l'aise. 
Avant de commencer on attend que les quelques vannes et 
tensions s’expriment puis on y va. 
A Coutances on a vraiment réussi à les mettre en confiance. 
Des sourires des mains qui tapent  le rythme. Nous avons même
oublié un instant l'endroit où nous étions.
Par contre c'est sur que tu fais plus attention à ce que tu 
dis ,à la façon dont tu présente tes morceaux ( celui-ci parle
de l'envie de voyager celui-la d'un tueur en série...)
Mais ça a fonctionné on a même motivé un des gars à balancer 
un flow hip hop sur une impro.
 Et pourtant là dedans on sent que c'est une mise en danger 
de s'exprimer vraiment.
A la fin les gars plus en confiance nous ont serré la main
 tout en récupérant des autocollants pour eux et leurs potes
de cellule.

Le sentiment en partant de là bas c'est le plaisir de savourer
 le fait d'être libre .
Ca te ramène à toi à ta propre liberté mais aussi d'avoir fait
 quelque chose de fort quelque chose de bien.D'avoir donné de
toi. C'est troublant mais enrichissant...
Nous en tout cas, on est partant pour d'autres fois!

(http://www.facebook.com/undobarmusic)

INDIGENE @ la fermeture éclair (Caen, 11/01/2014)

Il est 18h. C’est avec l’énergie débordante, qui caractérise l’état d’après une trop courte sieste, que je me prépare à aller découvrir  Indigène, Le projet de Martin (aussi membre des Goaties) et Tom (ancien chanteur de Nirvana et guitariste des foo fighters). Je prends donc mes clics, mes clacs, mes clés et mes clopes et me voilà parti, tel un oiseau dans le vent soufflant de la péninsule ibérique de la côte finistérienne. Hein ?

18h30. Arrivé sur place, je suis tenté de faire la quenelle. J’hésite et finalement choisi de commander un Riesling à la table des dégustations. Puis un muscadet, puis un autre muscadet.

18h45 ou 19h, je ne sais plus trop. Les ptits gars de indigènes rentrent en scène, joliment habillée d’un manteau de brume « so 2012 », ainsi que d’un très beau logo « Ok podium » qui me ramène malgré moi à mes jeunes années ou j’aimais lire des Picsou magasines. Et ou ma sœur chantait encore du Céline Dion dans sa chambre.

Lorsque le concert commence, le son est malheureusement pas vraiment réglé, on entend quasiment pas la guitare. Mais en public bienveillant, nous exhortons Tom à monter le son de son ampli à 11 ; et au bout de 2 ou 3 morceaux. On peut enfin profiter du concert.

1487293_10203047950507527_1736963143_ncrédit photo: Béa GILLOT

C’est un rock 90’s dans lequel les deux comparses nous embarquent. Un son gras de guitare accompagné d’un jeu nerveux de batterie. Si les morceaux sont pour l’instant quasiment tous instrumentaux. Tom nous gratifie parfois de chant. Quelques phrases transpirant une certaine tension, une certaine rage où l’on peut ressentir des textes fortement inspirés de moments, d’histoires  vécues. Il y a une volonté clairement libératoire là dedans !

Si l’on sent encore que certains breaks ou certaines parties sont un peu hésitantes, ce qui est fort compréhensible après à peine deux mois de répétition ; il se dégage déjà une richesse artistique dans les riffs , dans la construction des morceaux, dont les parties sont parfois acérées et couillues et d’autres plus planantes. On sent une réelle connivence entre ces deux gars là, complices sur scènes.

Après une pause, les mecs rejouent quelques morceaux du début de set, ce qui nous permet de compenser avec les problèmes de son du début. Et ça fait plaisir. Le public dont moi à présent mieux réveillé, et même pas saoul, en redemande. Et cette joyeuse gaudriole se termine par quelques impros bien rock n’roll.

Pour résumer, c’est un jeune groupe qui « tel une fleur qui s’apprête à éclore », « tel un diamant à polir » mérite toute notre attention.  C’est un set des plus prometteurs qui a été joué là. L’énergie du groupe et la qualité de sa plume, promet de très bonnes gourmandises sonores prochainement !

A suivre de près !

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Tom (guitare/chant) à gauche

Martin (Batterie, à droite)

Fred, pour l’Escroniqueur.

et bonne année bien sûr!

 

EDIT:

live bistrot des halles: 18 janvier 2014

https://www.facebook.com/escroniqueur

Worshipped Pheasant @ l’écume les nuits (06/12/2013)

L’écume des nuit, aussi dénommée l’écume des chattes, ou encore l’écume des cum’ est un lieu que l’on fréquente généralement à partir de 1h du mat, quand les autres bars sont fermés et qu’on a envie d’afteriser, de danser et de boire des trucs autres qu’un petit café.

C’est dorénavant un lieu ou l’on peut venir plus tôt, pour savourer un concert (plutôt de ceux qui ne font pas trop de bruits, faute aux voisins).

Je suis arrivé vers 20H en pleine balance des Worshipped Pheasant, un peu serrées dans le fond du bar. Elles prennent de la place les nanas (non elles ne sont pas grosses, mais nombreuses). D’ailleurs je rattrape de suite mon erreur: je dis « elles », mais il y a aussi le bonhomme, celui qui tape sur le cajón.

Pour ceux qui ne les connaissent pas (bouh!!),  la formation compte donc monsieur à la percussion, une demoiselle à la guitare et 3 autres nanas aux voix. Toutes lead. Fait intéressant, elles sont plutôt polyvalentes les demoiselles. Non seulement elles sont jeunes, mais en plus de ça, elles maitrisent en plus de leurs voix, la guitare, l’accordéon, le euh…canard, et le violoncelle.

la cohésion au sein du groupe transparait autant dans la musique (des regards, des sourires) que dans l’attitude hors concert. On sent une vraie symbiose.

Musicalement, venons en au fait. Le set des W.P est construit d’une excellente manière, On navigue avec eux, dans des eaux en perpétuel mouvement. Riches de surprises et d’originalité, on ne s’ennuie (et c’est plutôt assez rare pour qu’on le dise) jamais. Instaurant un rapport de proximité avec le public, on se trouve vite pris dans leur jeu avec la sensation d’être dans un appart’ pour l’apéro. (désolé , c’est mon côté alcoolo)

La guitare est l’un des atouts majeurs du groupe. je dois dire qu’au premier abord, si on me parle d’un groupe avec trois chanteuses. je vais penser que ça va me saouler. Que ça risque d’être neu neu et plan-plan, puisque comme chacun le sait, mettez plusieurs filles ensemble dans une même pièce, et dans les 10 minutes, ça parlera chiffons, et après y’en aura forcément une qui va chialer sur ce connard de mec qui l’a trompé. et patati et patata.

(je m’égare)

les riffs a tendance hispanisante, flamenco ou je sais pas trop, un truc du sud quoi, sont chaque fois originaux, avec un côté nostalgique, entre ombre et lumière. y’a un pti truc dark là dedans, sous de faux airs de chansons hippies .je sais pas trop quoi mais ça envoie et c’est interprété avec talent.

La section rythmique accompagne elle aussi très bien les morceaux, sachant poser et balancer avec subtilité quand il le faut.

et pourtant d’habitude je suis CONTRE le cajon. Enfin, j’aime pas quoi.

Les voix, ah ces voix. complémentaires et juste à souhait. On a pas l’impression d’assister à une chorale, les voix se fondent l’une à l’autre, tantôt contant des histoires, tantôt glissant de douces mélodies qu’on retient très bien!

Mention spéciale pour un morceau en français dont je ne connais pas le nom (un , deux et un lalala…) qui,  avec son côté slammé, est vraiment prenant.

Worshipped Pheasant, c’est aussi un groupe qui peut jouer 10 heures d’affilée. Pourquoi? Parce que les rappels ne s’arrêtent jamais.

Fred, pour l’Escroniqueur.

https://www.facebook.com/WorshippedPheasant?fref=tsImage

Jimmy (cajon), Ambra (guitare), Laura (chant, guitare, canard…), Marceline (chant, guitare, accordéon), Miléna (chant, violoncelle)

Jahen Oarsman @ la garsouille (06/09/2013)

Ayant eu le plaisir de rencontrer Jean-Baptiste au détour d’une soirée estivale. j’ai d’abord connu sa musique dans un cadre bien tranquillou: une guitare, une voix. un barbecue…

J’ai de suite aimé l’originalité, la maitrise de la voix et la teinte folk qui se dégageait des mélodies. Dans un style que je rapprocherais de yodélice pour le côté arabisant, tout en restant bien personnel.

A cette occasion j’ai pu découvrir leur démo de 4 titres, qui, même si elle pêche par certains aspects technique (pas de mastering), possède néanmoins le charme de te plonger vite et efficacement dans le bain.

C’est naturellement que la curiosité m’a amené  à aller le découvrir sur scène ce jeudi à la garsouille, à Caen.

C’était donc une première pour moi, mais de la nouveauté aussi pour eux car la formule s’est agrandie par rapport aux autres concerts.

Voix guitare pour JB, mais aussi batterie, basse, cordes, percu et guitare slide.

je savais que le nom et la musique de Jahen Oarsman avait pas mal tourné ces derniers temps (tremplin l’ampli de ouest france?) , mais force était de constater que le public, au rendez vous, était bien au taquet.

Le concert a commencé un peu en retard, ce qui m’arrangeait bien puisque j’étais moi même en retard, mais aussitôt la sauce a pris. Entre des morceaux que je ne connaissais pas et ceux que je connaissas par la démo, Le set m’a semblé très cohérent, avec un plaisir visible des musiciens, très bien transmis au public, dont certains spectateurs connaissaient déjà les paroles.

Pour pimenter le tout, nous avons eu le droit à une danseuse orientale,  Elise Pastor, qui nous a offert une danse des plus agréables (pas juste parce que je suis un mec en rut, comprenons-nous bien) , malgré la contrainte d’un espace réduit.

Si j’avais peut être un peu peur d’une redondance dans les morceaux, j’ai été agréablement surpris de voir que tout au long du set on reste bien concentré et on se laisse prendre au jeu, notamment lors de fin de morceaux qui repartent suite aux applaudissements d’encouragement. Sauf peut être quelques choeurs féminin un peu faux par moments et peut être un manque de puissance de la batterie, la diversité de la formation donne une richesse aux morceaux très intéressante. Et bien entendu, l’âme du groupe la voix de Jb, ne m’a clairement pas déçu en live, une très grande maitrise qui fait du bien dans les oreilles!

Un concert bien sympathique donc, que j’aimerais pouvoir revoir dans des conditions meilleures, une plus grande salle par exemple.

Un groupe à suivre de près donc, et qui risque bien de faire parler de lui prochainement!

fred, pour l’escroniqueur.

Ecouter: http://www.noomiz.com/jahenoarsman

Fb: https://www.facebook.com/jahenoarsman

UNDOBAR/ tour report (avril 2013)

UNDOBAR

TOUR REPORT  AVRIL/2013

20: Cococabana (Metz) FR

21 : Auberge les Moraines (Lepuix) FR

23 : Klub Kapsa (Plzen) CZ

24 : Drum n’Pub (Brno) CZ

25: Klub desert (Brno) CZ

26: Kafé Komedie (Praha) CZ

27: Café sladkovski (Praha) CZ

Musiciens : Frédéric FOUCHER/ Benjamin DANLOS (« Derrick »)

Technicien son : Jérôme DROUIN

Vendredi 19 avril :OFF

C’est aujourd’hui le grand départ, On bourre la nouvelle caisse de Derrick de matos en espérant ne rien avoir oublié tout en essayant de garder un minimum de confort. Celui qui se retrouve en passager va être serré. Mais le nouvel investissement du groupe, un C8 qui fait caisse à papa, reste assez confortable et à la place suffisante, au poil de cul, pour nous faire rentrer tous les trois plus le matos.Et vu le nombre d’heures de route à se taper, c’est pas du luxe ! . Ce soir le plan est de se poser à st Ouen , ramener nos gueules devant la boutique de « Morsay »(truand de de la galère, wesh ma gueule), et peut être récupérer un T-shirt « cliquez bande de salopes ». Cli-cli style !

Samedi 20 avril

Pour commencer le tour, même si c’est « off », on a eu le droit à un super accueil hier soir, Soirée posée en appart’, on s’est fait plaiz’ avec de la Perlenbacher, des quizz musicaux sur grand écran et Morsay en vrai. Ce mec là est vraiment le mec le plus naze du monde mais voir sa gueule en vrai, c’est bien fendard. Si le mec à l’entrée avait pas fait peur a Derrick il aurait prit un T-shirt. Tant pis, on se gardera un souvenir dans la tête. Comme une carte postale pourrave de st-ouen!

quizz

On dit au revoir, on repart sur l’autoroute. Et quand on se pose sur une aire d’autoroute on croise  les camions des gars du bal des enragés (Tagada Jones, Lofofora, Poun de Black Bomb A , Parabellum, Vx de Punish Yourself et Damny de La Phaze  ) qui sont en partance pour une date en Belgique. Fred était tenté de faire la groupie et de leur demander de poser avec eux devant la machine à café ou devant les chiottes. Mais il a bien senti que c’était un coup à se faire chambrer sur la route. Et quand ça chambre dans Undobar, ça chambre pendant 3 jours d’affilé.

En arrivant à Metz, on a plutôt la patate car c’est enfin la première date, ça va dégourdir les pattes et les oreilles, et on a bien envie de rentrer dans le match. Jérôme, qui a déjà vécu ici, parait un peu ému, mais pas tant que ça, car la quantité impressionnante de poils sur son visage ne permet pas d’y distinguer trop d’émotion.

Quand tu joues loin de chez toi, tu ne sais jamais à quoi t’attendre. tu connais personne, t’as pas vu comment la com’ a été géré.La première impression au Cococabana à Metz est plutôt cool, une salle à la cave qui se prête bien à un concert. C’est un bar de nuit plutôt pas mal foutu et grand. Ce même soir, dans le bar, c’est aussi la soirée d’anniversaire d’une nana, avec un repas.  C’est donc la première fois qu’on joue devant personne… Les gens étant apparemment plus motivés pour profiter de leur soirée et repas juste au dessus de nous. Parait que ça forge ce genre de plan foireux , on a quand même joué, pour nous, pour répéter, pour le plaisir, pour avoir fait 800 bornes parce qu’on avait une date. Dommage que les gens aient trop la flemme pour aller voir un concert que se passe dans la salle en dessous d’eux…Ca veut dire aussi que si pas de public: pas de ventes, pas d’entrée, pas de tune au chapeau donc un trou dans notre budget « DIY ». Mais c’est la vie, et c’est que la 1ère date.Le patron est pas chiant par contre, il nous abreuve comme il faut et Derrick et Jérôme sont contents de mater des matchs de foot dans le bar. A défaut d’être les zikos de la soirée; ils sont en mode supporters. Le soir venu, le premier démontage aussi, on part se pieuter dans un petit Formule 1.C’est vraiment pas grand un formule 1… Olé !

Dimanche 21 avril

Réveil vers 9h30. Aujourd’hui on a peu de temps devant nous car le get in à l’auberge des moraines est en début d’aprem. On se fait  un arrêt bouffe au flunch, (vous l’avez dans la tête la chanson de la pub là??) et Jérôme récupère un super ballon qui a réussi à nous faire tout le trajet accroché sur les essuies glaces arrière. C’est beau non ?

ROAD FLUNCH

A 14h on est dans les Vosges, on apprécie le paysage (on pensait ne plus voir de neige, eh bien…si). Du moment que ça fait juste un peu de déco ça nous va. Le fait que le paysage soit sympa permet aussi d’oublier l’odeur de pet qui traine dans la caisse. Merci le barbu. Derrick et Jérôme ont l’air de fantasmer sur le bois que nous croisons. un trip -à base de « popopopop » qui va alors durer toute la tournée- Si tu ne fais pas partie d’undobar, tu ne peux pas comprendre. Désolé.

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Une fois arrivés, nous sommes saisis d’une bien bonne impression. déjà le coin est chouette, l’auberge est chouette et on nous accueille direct avec un verre (« oh la, doucement les gars, vous voulez pas boire un coup avant de charger? »). Ça se présente bien. En effet la soirée se passe au mieux, dans ce cadre rustique. Le public est composé d’habitués curieux de concerts. Ils sont très attentifs et réceptifs. La soirée dure un peu plus longtemps que prévu, la patronne nous fait goûter son « krump » maison. Pas dégueu d’ailleurs et on finit par aller se coucher un peu déglingués, dans les lits de l’auberge, bien plus sympas que ceux du formule 1 et ça, c’est cool. Cette date, autant par l’ambiance que le merch, compense la date du cococabana. Ouf, on a refait le plein de good vibes !

Lundi 22 avril :OFF

On se réveille, en retard, la gueule dans le cul et avec la sensation que l’alcool n’est pas encore redescendu. Ce qui n’est à priori, pas qu’une sensation.D’ailleurs on pue un peu de la gueule et de partout car on part un peu en speed.

A peine partis, une mauvaise nouvelle tombe : le café Falk du 24 avril est annulé (problème avec le bruit). Ça fait un peu chier. (Ce qu’on ne sait pas encore à ce moment là, c’est que notre pote Jorge va nous chopper un autre plan, le drum n pub). On part donc pour 5h de route direction Nuremberg, on s’éclate avec la radio allemande (cette langue douce et sensuelle) et on finit par arriver à l’usine Thomann. Ça tombe bien, Fred a besoin  de jeux de corde en « spare »  et  Derrick , de mini jacks. Intéressant me direz vous, mais le but principal étant surtout de visiter un peu la boite, on se retrouve accompagné d’un certain Philippe , un breton qui bosse là bas, pour aller voir les choses d’un peu plus près. Les entrepôts, la boutique. C’est grand. Y’a des machines qui vont vite, une pièce avec des gens qui parlent plein de langues. Des fly et des amplis partout. Et Philippe est sympa, il nous file sa carte (un peu plus tard, il nous permettra d’avoir en cadeau sur une commande, des mugs et des stylos.Un mini noël en quelque sorte). Bref, on repart pour l’hôtel en prenant soin de récupérer une caisse de bières allemandes, qu’on entamera pas mal à l’hôtel à Nuremberg. Cet hôtel (Moldova) est d’ailleurs pas dingue, les gens du coin ont l’air chelou, et y’a que 3 chaines à la télé ; Rien a foutre, on bouffe des sandwiches, on se mate un bout de film érotique, et on s’endort sur « independance day » (« Il me tarde juste d’aller botter le cul de E.T »). On se venge en laissant une horrible odeur de pied et de fromage le matin, danke schön ? Mais au moins on peut récup’ de la nuit trop courte d’hier…

thoman

Mardi 23 avril

Après cette bonne grasse-mat on va faire un tour dans Nuremberg. Elle a une bonne gueule cette ville avec ces jolies places, jardins et sculptures. Les allemandes sont à fond sur les cheveux colorés bleu ou rouge. On trouve ça moche, mais  on a le droit de le dire vu qu’on est français, le pays de la mode, hein? On galère à commander un casse dalle, Fred essaie d’impressionner les copains en parlant allemand, mais ils se rendent vite compte que c’est du flan. Il faut dire qu’au collège ça trichait pas mal pendant les devoirs d’allemand. Là on s’éloigne du sujet, le mieux là dedans  c’est  que tombe la nouvelle du remplacement du café Falk par le drum n’pub tombe. Du coup on est encore plus contents. Merci Jorge ! N’oublions pas que dans cette tournée, Notre pote Mehdi nous a carrément aussi beaucoup aidé pour l’orga et le booking!

Vers 14h on est en république tchèque. Y’a un aigle (l’emblême de la marque matonni) géant qui prend tout le paysage. On l’avait repéré lors de notre précédente tournée. On y est ! C’est donc parti pour la date à Plzen ce soir. Que demander de plus que la ville de la « Pills »  pour commencer. Le patron du bar, le Kapsa,  est un type sympa, d’origine ukrainienne je crois. On rencontre un mec bien cool là bas, qui nous a découvert sur internet. On lui fait donc goûter notre « petite fraicheur » (get 27/pastis). Il kiffe la zik et la fraicheur et nous achète un pack cd’s t shirt. Le concert se passe bien, y’a pas énormément de gens dans le bar mais au moins ils sont au taquet, et les gens repartent avec cd’s et t shirt, ça fait plaisir. La  soirée est cool, on va se poser dans notre hotel (Rodna) plutôt pas mal d’ailleurs. Dommage aujourd’hui il y aura eu pas assez de temps pour  visiter la ville. Même si « on est pas là en touristes ».

Mercredi 24 avril

La nuit est encore un peu courte. C’est le rythme qui rentre, mais qu’importe nous voilà parti à Brno pour la date au drum n’club. On fait une courte balade parce que manque de temps avec l’instal’ pour le concert. Mais on apprécie carrément. La ville est vraiment cool. Il fait un temps parfait. C’est le pied, on ne compte déjà plus nos pintes (qui ne sont pas très chères, bonnes et légères). On est bien aidé par Jorge pour porter le matos et il nous dégotte un plan cool et proche pour poser la voiture en sécurité. Le concert se déroule bien, on a le plaisir de voir des gens qui sont revenus nous voir, un an après. Veronika par exemple. Ça fait chaud au cœur.

DRUM N PUB

La soirée et le concert se déroulent donc super bien, avec un after cool au desert Klub ou nous jouerons le lendemain. Derrick fait tomber sa bière, et tire donc un peu la gueule, Jérôme parle politique au billard. Fred se casse au bar d’à côté avec une nana qui veut lui faire découvrir un shooter. Peu de temps après Jérôme et derrick tentent de le semer en partant à l’hôtel, mais tout va bien: évitant un tram in extremis, Fred les retrouve, vivant. C’est mieux. Derrick fait encore un peu la gueule, mais tout ira mieux le lendemain avec une nouvelle bière. On se couche à l’hotel Fleda qui est un genre d’auberge de jeunesse. Simple mais correcte. Avec un distributeur de café. (C’est important). On nous a parlé d’un « pilo-fight » prévu le lendemain, autrement dire une bataille d’oreillers géants, organisée  par des étudiants. Fred ça l’intéresse. Parce qu’il aime beaucoup les études, enfin.. surtout les étudiantes.

Jeudi 25 avril

Une des seules journées où l’on peut se balader à Brno, on se fait un peu plaiz. On ne voit pas le « pilo-fight » mais des gens déguisés en machins et en bidules, ainsi que quelques poufs tchèques qui profitent du beau temps pour dévoiler leurs corps. Merci à elles. On se tape un genou de porc, De la balade, et un peu de bière au soleil. On y est tellement bien (en terrasse avec vue sur la ville), qu’on s’y endort tous les 3, comme des merdes ! Arrive l’heure de poser le matos au desert Klub, toujours à Brno. On y retrouve des gens de l’année dernières aussi. Bien du plaisir à jouer dans ce lieu, qui a tout de l’endroit rock n roll. le concert plait vraiment bien aux gens aussi. Tant mieux me direz vous ! Nous recroisons donc Kris et aussi Lena que nous avions rencontré l’année dernière et avec qui nous avons bien sympathisé. Le seul hic de la soirée étant le fait de devoir payer nos bières. Et ça, on peut dire qu’on en a bu un paquet, et de shooters aussi. Ça permet à Jérôme et Fred de se décharger d’un surplus de billets (Sic). Nous allons alors passer notre dernière nuit à Brno. Un tchèque dort dans un lit à côté, il a de la chance qu’on ne le réveille pas.

DODO BRNOdesert affiche

Vendredi 26 avril

Sur la route vers Prague, nous faisons escale dans un petit village ou habitent les parents de Marketa, la nana de notre pote mehdi, une fille vraiment cool et qui parle un très bon français! Un resto pas dégueu, en terrasse, un strudel pour Jérôme ;  ça requinque un peu. Mais ça rajoute au manque de sommeil, le poids de la digestion. On parle de la possibilité d’une tournée en hiver. Ça nous enchanterait ! Fred trace la route avec Mehdi et Marketa , Jérôme  et derrick vont de leur côté. Dans la caisse de Mehdi on peut fumer , ça ne sent pas des pieds, et Mehdi et Marketa ne font pas l’accent belge. Pas encore. L’arrivée dans Prague, direct ça fait plaisir aux mirettes, putain ce que c’est beau. Cette architecture particulière, ces bâtiments colorés. Fred est amoureux de la ville et ne se lasse pas de le dire. Derrick commence à se dire que Fred risque de partir là bas, ce qui ne serait pas pratique pour les répètes (lol, mdr,ptdr). On se fait une balade dans la ville. Tant mieux, ça aurait été dommage !

bouffe parent marketalive divaldoroad prague

La fatigue est vraiment super présente ce soir au kafé komedie , Le lieu est beau, c’est un théâtre aussi. Assez classieux, mais la configuration de la pièce est galère pour la sonorisation. On en chie un peu,  mais ça reste agréable fort heureusement. Et le personnel du bar est vraiment cool. Non seulement on revoit encore des gens venus nous voir à Brno et plzen, mais aussi 3 caennais en voyage. Amusant ! Les tchèques, bien qu’étant le plus souvent assis posément avec leurs bières, ont une super bonne mémoire et savent te dire quand ils ont apprécié. On ne traîne pas vraiment après ce concert du coup, on se couche quasi direct dans l’appart bien cool de nos hôtes.  On n’oublie pas de retirer nos pompes (c’est important chez un tchèque) et aussi de les mettre sur le balcon (c’est important pour ceux qui ont de l’odorat).

Samedi 27 avril

Dernière journée à Prague. Ça fait un peu bizarre mais c’est ainsi. On est frais et dispos, on est douchés, on  se balade et profitons  encore du beau temps. Nous devions visiter le « smecky studio »mais le gars a zappé. Du coup on en profite pour assister à un concert de punk rock en extérieur. Après tout ça on va au café sladkovski pour la dernière date. Il y a un tournage à proximité. Le lieu est super sympa et même si on doit s’amuser à chaque passage de matériel, à ouvrir et fermer la porte du bar, on est bien content d’être là. Il y a pas mal de monde ce soir, le concert se passe super bien. Les gens kiffent bien et le font aussi savoir. Et chose amusante, dans le public il y a l’acteur favori de Marketa, un certain Ivan Trojan et le réalisateur du film qu’ils sont en train de tourner à côté. Ils nous demandent de rejouer quelques morceaux pour eux, repartent avec cd’s, T-shirts et décapsuleurs et nous invitent sur le tournage. On y fait donc un tour un peu plus tard mais ne les voyons pas. Une rencontre chouette qui, peut être, espérons le, pourra amener une collaboration ou quelques contacts. Nous terminons donc cette soirée à la cool chez Mehdi et Marketa, avec un alcool fait maison à base d’œuf par Marketa. Délicieux !bien contents de cette tournée bien crevante toutefois (pas de jour off en rep.tchèque). Une bien bonne expérience donc, même si, on a grave manqué de temps pour visiter.

BOUTEILLE JAUNElol techeque

Dimanche 28 avril

C’est le grand départ, le grand retour, avec l’envie de revenir, forcément. Encore. Nous partons donc de Prague après un pti dej anglais préparé avec amour et notre ballon qui nous aura aussi accompagné toute la route. C’est un beau symbole. Ou pas. Je vous laisse choisir.Fred en profites pour sécher ses pompes qu’il avait oublié sur le balcon pendant la nuit, au sèche-cheveux.Un grand moment d’émotion. . Ce soir nous coupons la route avec une escale à Strasbourg ; Choucroute et hébergement bien cool chez Danielle et Laura, qui fait plaisir aux conducteurs, aux passagers, et aussi à la tronche.

Merci à vous tous, c’était rock n’roll. De supers moments, des gens géniaux.c’était parfait.

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